Comme tout autre domaine de la vie, les Échecs reflètent notre comportement et manière de réfléchir. D’où l’importance de prendre en compte la personnalité des véritables décideurs de tout ce qui se passe sur l’échiquier.

• Certains débutants veulent apprendre à jouer, mais la plupart aimeraient plutôt gagner !

• L’amateur joue par pur plaisir et cela le captive alors que le maître le fait par obligation professionnelle et cela ne lui apporte pas toujours des satisfactions.

* Tout maître ou grand champion fut à ses débuts un simple débutant.

• Le talent échiquéen réside dans la capacité de saisir des choses invisibles, d’ébranler des obstacles intangibles, de trouver des solutions inimaginables.

• Être un joueur intelligent, ce n’est pas trouver des coups spirituels mais plutôt d’avoir le cran d’effectuer certains d’entre eux et de n’en pas faire d’autres.

• Dans les parties des certains « sorciers » de l’échiquier on assiste à une véritable magie blanche-noire.

• Le maître jouait à l’aveugle mais …il voyait tout !

* Pour arriver à bien jouer par correspondance, la première condition est de ne pas mettre ses lettres dans d’autres boîtes.

• Le joueur par correspondance a mis tellement de temps pour la réflexion de ses coups qu’entre temps il a pu prendre sa retraite.

• Aux Échecs, l’impossible est une frontière toujours repoussante…à l’aide de son adversaire.

• Rien ne nous insuffle autant de puissance comme ... l’impuissance de l’adversaire.

• Pour arriver au top niveau, le meilleur piston à employer est celui contre ses adversaires.

• Un adversaire bien connu est à moitié vaincu et l’un surpris est mi-pris.

• Mon meilleur ami n’aimait pas les défaites, mais il les a supporté toute sa vie.

• Les vainqueurs ont, même au pis aller, le meilleur résultat.

• En publiant le recueil de ses meilleures parties, il a forcément perdu quelques amis.

• Tout joueur d’échecs sait que, quoi qu’il fasse, il sortira vivant de sa bataille.

• On ne peut pas être en même temps un grand-maître actif et un bon entraîneur : le premier est programmé à tuer tandis que l’autre est censé de soigner les blessures.

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